Archive 2006

novembre 2006

N° 183 A propos de dramaturgie contemporaine

Catégories : Bernard-Marie KoltèsTous les numéros

Théâtre/Public n°183A propos de dramaturgie contemporaine

Le personnage théâtral entre décomposition et recomposition.
Sur un livre de Jean-Pierre Ryngaert et Julie Sermon. Par Joseph Danan.
Bernard-Marie Koltès, « le lieu terrible d’avant les mots ».
Par Yves Ferry, dédicataire de La nuit juste avant les forêts.
Philippe Minyana et Valère Novarina, des « représentations du corps » qui bouleversent les « repères corporels habituels ».
Par Sylvie Roques.
Comment « l’ordre ancien, traditionnel » oppose « les formes de la réaction » aux renouvellements du « régime dramatique ».
Par Etienne Marest.

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juillet 2006

N°182 Anatoli Vassiliev Tradition, Pédagogie, Utopie

Catégories : Anatoli VassilievTous les numéros

Théâtre/Public n°182 Anatoli VassilievAnatoli Vassiliev

Tradition, Pédagogie, Utopie

Dossier réalisé par Giampaolo Gotti

L’article de Marie-Christine Autant-Mathieu qui ouvre ce dossier
commence par une référence à deux citations dont se dégagent des images du metteur en scène russe comme « personnalité complexe et contradictoire » (cf. page 7) :
« Sa ressemblance avec un prophète biblique, un tolstoïen des temps modernes, un sectaire, un fou, un shaman et un gourou, il n’y a que les aveugles pour ne pas la voir, que les paresseux pour ne pas la décrire. Ses colères, son impatience tissent dans le monde théâtral des légendes qui font froid dans le dos. Mais il y a un autre Vassiliev ironique, léger, artistique, transformant le théâtre en plaisanterie et la vie en improvisation. »
(Marina Davydova)
« C’est un homme qui a peur du travail fini. C’est un metteur en scène qui chaque jour veut détruire ce qu’il a fait la veille. Il est toujours en conflit avec ceux qui l’entourent et avec lui-même. Il donne des objectifs presque irréalisables. »
(Jacques Lassalle)
Le portrait en mouvement que suggèrent ces citations contient
assurément sa part de vérité. Et l’article de Marie-Christine
Autant-Mathieu s’appuie avec pertinence sur elles pour, ensuite, amorcer le chemin que poursuivront l’ensemble des textes réunis par Giampaolo Gotti et qui débouchera sur une image de caractère sensiblement
différent. Des textes de triple provenance. 1) Vassiliev lui-même.
2) Quelques-uns de ses collaborateurs : la comédienne Valérie Dréville et quatre participants du département de mise en scène de l’ENSATT, Giampaolo Gotti, Natalia Isaeva, Stéphanie Lupo, Stéphane Poliakov.
3) Des universitaires et des témoins : la spécialiste du théâtre russe Marie-Christine Autant-Mathieu, l’historien du théâtre Alessio Bergamo, le metteur en scène russe Adolf Shapiro, l’essayiste Bruno Tackels. Au bout de ce chemin : un Vassiliev que définit bien la triade Tradition/Pédagogie/Utopie.

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avril 2006

N°181 Le théâtre dans le débat politique

Catégories : Tous les numéros

Le théâtre dans le débat politique/Cerisy/ Théâtre/Public n°181Le théâtre dans le débat politique

Textes et documents rassemblés par Chantal Meyer-Plantureux

« Les actes du colloque Le théâtre dans le débat politique, qui s’est déroulé du 5 au 12 septembre 2005 à Cerisy la Salle, propose deux axes de réflexion : une réflexion historique menée par des chercheurs et des doctorants, et une approche du théâtre politique contemporain à travers des expériences originales. »

I – Censure et critique

De Thermidor aux Paravents,
par Odile Krakovitch.
Germinal en rouge,
par Clélia Anfray.
Un critique dramatique d’extrême droite : Jean Drault,
par Victoria Cohen.
Léon Blum, de la critique dramatique à la politique,
par Chantal Meyer-Plantureux. Lire la suite »

janvier 2006

N°180 Pour Schiller – Ateliers Giacometti

Catégories : Heiner MüllerTous les numéros

Schiller Giacometti Théâtre/Public n°180Déborder ou Mon mal vient de plus loin
Une méditation de Marie José Mondzain en écho au numéro 178 de Théâtre/Public qu’elle avait consacré au thème de l’Excès.

Pour Schiller

Textes et documents rassemblés par René-Marc Pille

Alors que l’Allemagne vient de célébrer tout au long de l’année 2005 le bicentenaire de la mort de Schiller, l’événement n’a guère eu d’écho de ce côté-ci du Rhin. Y aurait-on oublié celui auquel la République, dans un élan de générosité, décerna un jour la citoyenneté française ? Le cas des Brigands mis à part, l’auteur de l’Hymne à la joie et de Don Carlos ne survivrait-il ici que grâce aux musiciens qu’il a inspirés ? Il s’est pourtant trouvé en France quelques enthousiastes pour prendre à bras le corps le théâtre de Schiller : c’est aussi en leur donnant la parole que ce cahier voudrait contribuer à rendre justice à celui qui reste, avec Brecht, le plus grand auteur dramatique de langue allemande. R.-M. P Lire la suite »

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